Au grès de mes danses

Sur un rythme tout en cadence

Je balance mes hanches

Et je suis la mouvance

Que cela soit à l’orientale

Ou bien à la bollywoodienne

Je me sens devenir une enfant de la balle

Pour le plaisir de devenir tienne

J’aime toutes ses danses

Qui développe nos sens

Et que la volupté

Nous fait tant aimer

OPALE



Dans cette ronde, je donne la main gauche à 

                       LISE:
http://scrap-papillon.blogspot.com/
 
et la main droite à 

                       PIXELLE :
http://pixelle1.blogspot.com/

Et voici un autre poême, de Guillaume Apollinaire, Poèmes à Madeleine, 1952

Lune candide vous brillez moins que les hanches
De mon amour
Aubes que j'admire vous êtes moins blanches
Aubes que chaque jour
J'admire ô hanches si blanches
Il y a le reflet de votre blancheur
Au fond de cet aluminium
Dont on fait des bagues
Dans cette zone où règne la blancheur
O hanches si blanches

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